Le 1er juillet marque le moment idéal pour faire le point sur les six premiers mois d’une année immobilière inédite. En effet, le volume des transactions dans l’ancien ne dépassera probablement pas les 850 000.
Entre lueurs d’espoir et signes d’inquiétude, voici les enseignements majeurs de ce début d’année.
Les zones rurales, pilier du marché immobilier français
Avec une augmentation des prix de 2,9 % en six mois, les zones rurales continuent de tirer le marché immobilier français.
Tandis que les 50 plus grandes villes stagnent, les zones rurales se distinguent avec une progression de 0,7 % en seulement un mois.
Une apparente hausse des prix immobiliers
Le mot « rassurant » est souvent utilisé pour décrire la situation actuelle. Les prix immobiliers ont en effet légèrement augmenté au niveau national, atteignant 0,5 % depuis janvier.
C’est un léger mieux par rapport à la même période l’année dernière, où la hausse était presque imperceptible (0,1 % en six mois). Les 50 plus grandes villes de France, en revanche, restent stables.
En revanche, Paris et les dix plus grandes villes affichent une baisse de -2,2 % et -0,3 % respectivement. Toutefois, au cours du mois écoulé, on observe une stabilisation, voire une légère progression des prix dans certaines de ces villes.
Ventes au ralenti et transactions en chute libre
Le marché immobilier français semble reprendre des couleurs, mais cette embellie est à nuancer. En effet, les prix immobiliers avaient augmenté de 4,7 % au premier semestre 2022, bien au-delà des chiffres actuels.
De plus, la hausse des prix, bien que modeste, intervient dans un contexte où les taux de crédit restent élevés, à 3,8 % en moyenne sur vingt ans.
Cette situation crée un climat d’attentisme. Les vendeurs hésitent à baisser leurs prix, tandis que les acheteurs peinent à obtenir des crédits et tentent de négocier.
Conséquence : les transactions traînent en longueur et les ventes s’effondrent. On estime à 812 000 le nombre de transactions au 1er avril 2024, et ce chiffre pourrait ne pas dépasser 800 000 d’ici fin août.
Un pouvoir d’achat immobilier en baisse
Le point noir de ce bilan est sans doute la perte de pouvoir d’achat immobilier des Français. En moyenne, ils ont perdu 20 m² de pouvoir d’achat en seulement quatre ans.
En 2019, on pouvait acheter 96 m² en France, contre seulement 76 m² aujourd’hui. Cette perte équivaut à un studio ou deux chambres.
Cependant, depuis avril, une légère amélioration a été observée. Les banques françaises, anticipant la baisse des taux directeurs annoncée par la Banque Centrale Européenne, ont réduit les taux de crédit, permettant ainsi de regagner en moyenne 2 m² de pouvoir d’achat immobilier en trois mois.
Quelles perspectives pour le marché immobilier après l’été ?
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